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31 janvier 2018 3 31 /01 /janvier /2018 23:40

Sortie de « Les Tuche 3 » : 31 Janvier 2018 
Réalisation : Olivier Baroux


Note : 4/5

Résumé : Jeff Tuche, se réjouit de l’arrivée du TGV dans son cher village. Malheureusement, le train à grande vitesse ne fait que passer, sans s’arrêter à Bouzolles. Déçu, il tente de joindre le président de la République pour que son village ne reste pas isolé du reste du territoire. Sans réponse de l’Élysée, Jeff ne voit plus qu’une seule solution pour se faire entendre : se présenter à l’élection présidentielle... Profitant de circonstances politiques imprévisibles, Jeff Tuche et toute sa famille vont s’installer à l’Élysée pour une mission à haut risque : gouverner la France.

Critique : Les Tuche, c'est soit on adore, soit on déteste. Pour ma part, j'adhère totalement à cette famille désopilante et leurs aventures. Dans ce troisième opus, direction l'Elysée où Jeff Tuche va devenir Président de la République. Même si certaines vannes tombent à l'eau (on ne peut pas faire 100% de vannes réussies, il faut se l'avouer), la plupart fonctionne très bien et il y a beaucoup de scènes hilarantes : le débat de l'entre deux tours, l'arrivée à l'Elysée, les frites de Cathy ou encore la pub de Mamie Suze... On ne voit pas le temps passer et on a un réel plaisir de revoir ces gens un peu simplet mais avec un bon cœur. Il y a également des clins d'oeil sur notre réelle société assez plaisants (Coucou Fillon et le CAC 40). Ce troisième film reste donc dans la lignée et l'humour loufoque des deux premiers et plaira sûrement aux fans. Comme je le redis, on adhère ou on adhère pas. Ma seule petite déception concerne les enfants Tuche, moins mis en avant que dans les anciens, surtout concernant Coin-Coin.

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29 janvier 2018 1 29 /01 /janvier /2018 18:42

Sortie de « The Passenger » : 24 Janvier 2018
Réalisation : Jaume Collet-Serra

Note :
3/5

Résumé : Comme tous les jours après son travail, Michael MacCauley (Liam Neeson) prend le train de banlieue qui le ramène chez lui. Mais aujourd’hui, son trajet quotidien va prendre une toute autre tournure. Après avoir reçu l’appel d’un mystérieux inconnu, il est forcé d’identifier un passager caché dans le train, avant le dernier arrêt. Alors qu’il se bat contre la montre pour résoudre cette énigme, il se retrouve pris dans un terrible engrenage. Une conspiration qui devient une question de vie ou de mort, pour lui ainsi que pour tous les autres passagers !

Critique : Si vous cherchez un film d'action/thriller sans se prendre la tête, à simple but de divertissement, vous êtes bien tombé. On retrouve Liam Neeson dans un rôle vu et revu, mais qui lui va toujours bien. Ancien flic, il doit donc trouver l'intrus du train, sous peine de danger pour sa famille. Malgré un scénario assez prévisible, surtout vers la fin, on se laisse prendre au jeu dans cette intrigue et sans trop de longueurs. Il y a de bons effets spéciaux, l'acteur remplit son job.
C'est d'ailleurs mon premier film en 4DX, vraiment sympathique pendant les scènes de bagarres par exemple

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24 janvier 2018 3 24 /01 /janvier /2018 20:55

Sortie de « The Greatest Showman » : 24 Janvier 2018
Réalisation : Michael Gracey

Note :
 4/5

Résumé : The Greatest Showman célèbre la naissance du show-business et l’émerveillement que l’on éprouve lorsque les rêves deviennent réalité. Inspirée par l’ambition et l’imagination de P.T Barnum, voici l’histoire d’un visionnaire parti de rien qui a créé un spectacle devenu un phénomène planétaire.

Critique : Cette comédie musicale est un réel délice ! Comme des enfants, la magie nous frappe avec des étoiles plein les yeux face à ce show gigantesque. On y suit donc la fulgurante ascension de P.T Barnum, parti de rien et concrétisant son imagination débordante en réel spectacle. Il est entouré pour cela d'une grande troupe, avec chacun leur différence. Rejetés depuis leur naissance, ils vont ensemble former une sorte de famille et vont ainsi s'épanouir et s'affirmer davantage.
Les chansons sont toutes magnifiques, entraînantes et rythmées, mêlées à de sublimes chorégraphies, de couleurs lumineuses et bien sûr d'un casting performant. Le montage de certaines scènes est d'ailleurs envoûtant. Hugh Jackman éblouit et on sent qu'il a eu un réel plaisir à faire ce film, sans oublier bien sûr les personnages secondaires.
Cependant, le reproche que je pourrais faire à l'histoire est qu'elle va un peu trop vite à mon gôut. Barnum passe directement de la galère à la consécration en un claquement de doigt, sans réel approfondissement, c'est dommage.
Mais fort heureusement, on oublie vite face à la magie de ce cirque grandiose et on se laisse transporter par un enthousiasme contagieux.

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21 janvier 2018 7 21 /01 /janvier /2018 17:05

Sortie de « 3 Billboards : Les Panneaux De La Vengeance » : 17 Janvier 2018
Réalisation : Martin McDonagh

Note :
3,5/5

Résumé : Après des mois sans que l'enquête sur la mort de sa fille ait avancé, Mildred Hayes prend les choses en main, affichant un message controversé visant le très respecté chef de la police sur trois grands panneaux à l'entrée de leur ville.

Critique : Je ne dirais pas que ce film est un chef d'oeuvre, mais il mérite le détour. Frances Mc Dormand incarne ici une mère meurtrie, pleine de rage par le viol et l'assassinat de sa fille, et dont l'enquête piétine. En affichant des messages chocs sur ces trois panneaux publicitaires, elle espère ainsi donner un second souffle à cette affaire, car plus on en parle, plus elle a de chances de se résoudre. Cette petite ville est composé de plusieurs personnages que l'on va chacun suivre, tous plus ou moins loufoques ; ils ont chacun un rôle à jouer dans cette histoire. Il y a pas mal de scènes décalées, et on mêle le rire à l'émotion sans cesse. Mention également aux deux flics : Woody Harrelson dans sa phase terminale et Sam Rockwell dans la peau du policier raciste et con, mais qui a finalement bon fond. Je suis cependant restée sur ma faim concernant la fin de l'histoire. Disons que l'histoire s'arrête là, sans réellement de fin, ce qui m'a un peu frustrée. La prestation des acteurs est avant tout un bon motif pour jeter un œil à ce film.

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17 janvier 2018 3 17 /01 /janvier /2018 23:01

Sortie de « In The Fade » : 17 Janvier 2018 
Réalisation : Fatih Akin

Note :
4/5

Résumé : La vie de Katja s'effondre lorsque son mari et son fils meurent dans un attentat à la bombe. Après le deuil et l'injustice, viendra le temps de la vengeance.

Critique : Comment vivre et faire le deuil après avoir perdu sa famille dans un attentat à la bombe ? C'est ce que l'on va découvrir avec « In The Fade », portée par Diane Kruger en mère de famille détruite mais impressionnante comme jamais. Le film se base avant tout sur des faits d'attentats assez connus en Allemagne, par un groupe de terroriste néo-nazi.
L'histoire se divise en trois parties : la perte et le deuil ; l'injustice ; la vengeance et l'après. Si la première partie est choquante et la deuxième haletante, la dernière tient moins en haleine mais nous livre un final tout de même poignant.
Diane Kruger porte donc le film sur ses épaules et bouleverse, sans tomber dans le pathos. Elle est tellement convaincante qu'on empathie et qu'on enrage pour elle.
Le réalisateur a également pointé du doigt la tendance des juges et policiers à pencher les soupçons envers la victime elle-même : était-elle impliquée dans des affaires mafieuses ? Continuait-elle à dealer malgré son séjour en prison ? En incluant ce jugement, il dénonce par la même occasion l'incompétence des pouvoirs publics, car dans les vrais procès, on pensait que la victime était forcément liée d'abord à une magouille ou un réseau, la preuve de crime raciste ne venant que bien plus tard. Ce combat pour que justice soit rendue ne laissera pas indifférent.

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10 janvier 2018 3 10 /01 /janvier /2018 19:48

Sortie de «  Downsizing » : 10 Janvier 2018
Réalisation : Alexander Payne

Note :
2,5/5

Résumé : Pour lutter contre la surpopulation, des scientifiques mettent au point un processus permettant de réduire les humains à une taille d’environ 12 cm : le "downsizing". Chacun réalise que réduire sa taille est surtout une bonne occasion d’augmenter de façon considérable son niveau de vie. Cette promesse d’un avenir meilleur décide Paul Safranek  et sa femme à abandonner le stress de leur quotidien à Omaha (Nebraska), pour se lancer dans une aventure qui changera leur vie pour toujours.

Critique : Malgré un côté très intriguant, « Downsizing » se révèle être décevant. Nouveau film de ce début d'année, il dispose avant tout d'un speech original : afin d'éviter les problèmes de surpopulation, l'être humain peut tout quitter pour se faire rétrécir et vivre à « Leisureland » comme un roi. Dans un but écologique et surtout financier, Paul (Matt Damon) se lance dans ce changement seul, abandonnée par sa femme en cours de route. La première partie du film se reflète à la bande-annonce : c'est la découverte avec un côté assez fun et sympa. Mais au bout d'une heure, le rythme s'essouffle et on a l'impression que le réalisateur s'emmêle les pinceaux, à ne plus trop savoir quoi dire, ni quel message ou quelle intention véhiculer. J'ai trouvé la fin un peu absurde et le moment en Norvège est vraiment ennuyeux. C'est dommage, car malgré un bon démarrage, l'histoire perd de sa saveur

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7 janvier 2018 7 07 /01 /janvier /2018 18:10

Sortie de « Le Grand Jeu » : 03 Janvier 2018
Réalisateur : Aaron Sorkin

Note :
3/5

Résumé : La prodigieuse histoire vraie d’une jeune femme surdouée devenue la reine d’un gigantesque empire du jeu clandestin à Hollywood ! En 2004, la jeune Molly Bloom débarque à Los Angeles. Simple assistante, elle épaule son patron qui réunit toutes les semaines des joueurs de poker autour de parties clandestines. Virée sans ménagement, elle décide de monter son propre cercle : la mise d’entrée sera de 250 000 $ ! Très vite, les stars hollywoodiennes, les millionnaires et les grands sportifs accourent. Le succès est immédiat et vertigineux. Acculée par les agents du FBI décidés à la faire tomber, menacée par la mafia russe décidée à faire main basse sur son activité, et harcelée par des célébrités inquiètes qu’elle ne les trahisse, Molly Bloom se retrouve prise entre tous les feux…

Critique : Une interprétation éblouissante de Jessica Chastain dans cette organisatrice de partie de poker, mais qui n'a pas suffi à attiser toute mon attention sur toute la durée du film. En effet, le filme dure 2h20 et on le sent. Le côté voix off de l'histoire et les parties de poker clandestines qui animaient le début de l'histoire deviennent ensuite répétitifs. Le sujet de base peut être intéressant, mais je n'étais pas non plus emballée devant l'histoire, donc j'ai suivi sans engouement.
Mais ce qui est certain, c'est que Jessica Chastain est vraiment au top de sa forme et on le ressent. Donc pas de réel intérêt pour moi concernant l'histoire, plus à propos de mes goûts personnels, mais le film plaira

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3 janvier 2018 3 03 /01 /janvier /2018 23:01

Sortie de « Insidious : La Dernière Clé » : 03 Janvier 2018 
Réalisation : Adam Robitel

Note :
3,5/5

Résumé : Le docteur Elise Rainier, la brillante parapsychologue, va affronter le cas le plus effrayant et le plus personnel de son histoire : elle doit intervenir dans sa propre maison…

Critique : Quatrième volet d'une grande saga d'horreur, cet « Insidious » ne détrône pas les deux premiers, c'est indéniable, mais il arrive tout de même à maintenir un certain niveau. Cet opus s'intéressera particulièrement à la fameuse médium Elise, ainsi qu'à son enfance. Venant en aide à un homme, dont son habitation fut l'ancienne maison de cette dernière, elle va devoir refaire face à un démon de son passé qui hante encore les lieux.
Les codes du frisson sont classiques mais fonctionnent bien et cette entité démoniaque à la main clé a décidément un look à en faire frissonner plus d'un. Le scénario est bien construit, révélant ainsi quelques surprises auxquelles on ne s'attendait pas. Le film finit en beauté dans le sens où la boucle est enfin bouclée, reliant avec cohérence cette histoire au premier épisode.
Mais j'ai tout de même quelques reproches concernant ce volet : l'humour que le réalisateur a voulu instaurer dans l'histoire ne colle pas trop avec l'ambiance de cette saga ; il y a une scène dans le Lointain qui m'a paru un peu ridicule, vous devinerez surement laquelle.
Dans l'ensemble, « Insidious » réussit à faire peur et à disposer d'un scénario efficace malgré quelques petites erreurs.

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30 décembre 2017 6 30 /12 /décembre /2017 22:17

Qui dit fin d'année dit Top 10 et Flop 10 de 2017 !

TOP 10 :

1- La La Land
2- Nocturnal Animals
3- Okja
4- Mother!
5- Coco
6- Gook
7- Brimstone
8- Ça
9- Au Revoir Là-Haut
10- Lion & Baby Driver & Split

FLOP 10 :
1- Kong : Skull Island
2- Death Note
3- Les Nouvelles Aventures De Cendrillon
4- The Boyfriend : Pourquoi Lui ?
5- Jumanji : Bienvenue Dans La Jungle
6- Cinquante Nuances Plus Sombres
7- La Tour Sombre
8- Le Cercle : Rings
9- Adorables Ennemies
10- A Ghost Story & Le Bonhomme De Neige 

Et vous ? ;) 

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28 décembre 2017 4 28 /12 /décembre /2017 18:10

Sortie de « The Florida Project » : 21 Décembre 2017
Réalisation : Sean Baker

Note :
3,5/5

Résumé : Moonee a 6 ans et un sacré caractère.
Lâchée en toute liberté dans un motel de la banlieue de Disney World, elle y fait les 400 coups avec sa petite bande de gamins insolents.
Ses incartades ne semblent  pas trop inquiéter Halley, sa très jeune mère. 
En situation précaire comme tous les habitants du motel, celle-ci est en effet trop concentrée sur des plans plus ou moins honnêtes pour assurer leur quotidien…

Critique : Un film de qualité, c'est certain. « The Florida Project » nous embarque dans la vie du motel « Magic Castle », en suivant plus particulièrement une mère et sa fille, ainsi que le gérant. Ce motel étant à deux pas de Disney World, on voit vite la distinction entre le côté riche et le côté pauvre. Car la plupart des résidents y vivent en permanence et galèrent à joindre les deux bouts. Halley, la mère, ne se préoccupe pas vraiment de l'éducation de sa fille et utilise tous les subterfuges malhonnêtes pour survivre, avec son côté vulgaire, qui forcément se répercute sur sa fille.
Alors oui c'est très coloré, il fait beau, on suit la routine de ces enfants qui sont innocents dans le sens où ils ne connaissent pas encore bien la dureté du monde réel. Mais je n'ai pas trouver ce film « joyeux » comme j'ai pu le lire dans de nombreuses critiques. J'ai souvent eu ce sentiment de malaise entre cette innocence et la pauvre vie dans laquelle ils sont tous. Cette histoire fait en tout cas réfléchir et ne laissera pas indifférent, surtout par sa fin. Un beau drame.

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  • : Etant passionnée de cinéma, ce blog me servira à écrire mes avis personnels de films en fonction de l'actualité des sorties. Si vous souhaitez discuter d'un film, ou du cinéma en général, n'hésitez pas à poster un commentaire ;)
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